Le combat, tout comme le jugement, n’est à l’origine simplement contre sois même.
Source : Moi 🙂
Gaël, après avoir aiguisé son excitation en observant l’île, donna l’ordre à Bobby et une vingtaine d’hommes de rester au navire afin de le garder. Il les rassura en disant que ce n’était qu’un éclairage.
C’est une heure plus tard que Gaël posa son pied tremblotant par terre. Il regarda ces somptueux arbres qui vacillaient au vent. Ils étaient magnifiques. Leurs feuillages tel des fleurs de coton avaient l’air si douces.
Gaël alla sous l’arbre et il constata que malgré un soleil taurides, il faisait une chaleur extrêmement agréable.
La troupe de dix hommes se décidèrent à traverser la forêt afin de découvrir ce qu’il y avait au milieu de l’île.
Les arbres étaient extrêmement bien disposés. Tous les cinq mètres, était présent un arbre à ‘‘tiédeur’’ comme les appelaient l’un des matelots.
Ils marchèrent pendant une heure. Un dénivelé conséquent leur coupaient les jambes. À bout de souffle, deux matelots firent demi-tour afin de se reposer au navire. Gaël, lui, était au bord de l’évanouissement. Porté par les aisselles par deux moussaillons, il avait beaucoup de mal à marcher. Sa tête lui faisait mal et ça n’allait pas en s’améliorant.
Heureusement, ils arrivèrent au sommet de la sois distante muraille. Ils s’aperçurent aussitôt la tête levée de la splendide vue qui leur était offerte. Rien de tel n’avait égalé cela dans les yeux des marins.
Aucune parole ne sortait de la bouche des hommes. Ils étaient tous ahuris devant la beauté de cette île. Le point culminant ou ils étaient s’étendait sur des centaines de kilomètre afin de se rejoindre en un point pour former un cercle. Le soleil de midi venait, dans un rayon, éclairer le milieu de l’île. Comme le cratère d’un volcan, ce milieu était comme creusé par les années. Au lieu d’y avoir de la lave il n’y avait qu’une forêt et quelques points de verdures.
Un pic vint percer la poitrine de Gaël. À sa grande déception, il n’y avait rien, pas de traces de paradis sur terre. Aucune empreinte d’homme. Sur un ton de condoléance, le capitaine déclara :
– Messieurs, j’ai bien peur que tous nos efforts n’aient été galvaudés. Il n’y a aucune trace d’El Dorado sur cette île. Taillons un de ces arbre et partons.
Gaël regarda se magnifique paysage comme pour le prendre en photo. Les mains dans le dos, il plongeait ses yeux dans la preuve que la beauté universelle existait.
– Vous ne pouvez pas faire cela messieurs. Dit-une voix tranquille derrière le capitaine.
Gaël ne se retourna pas. Il était absorbé par l’image devant lui.
– C’est un ordre matelot ! fit-il d’une voix posée mais imposante.
– Non, mais je vous le dis, votre homme, il ne pourra pas tailler cet arbre. Tous les produits de ce qui pousse sur cette île ne peut pas être abbattu.
Gaël se retourna pour savoir qui avait l’audace de contester son ordre. Un homme arrivant à l’épaule du matelot qui aillait couper l’arbre se dressait là, tranquille, la tête haute. Il était torse nu presque aucun poil ne sortait de sa peau bronzée. Ses cheveux lui arrivaient sur les épaules et sa barbe était à la même hauteur. Il était sec comme un brin de foin qu’on aurait déshydraté.
Gaël étonné de l’audace de cet homme, lui demanda :
– Puis-je vous demander qui vous êtes mon bon Monsieur ? fit-il avec mépris en tendant l’oreille comme s’il n’avait pas entendu ses paroles précédentes.
L’homme paru surpris de la question.
– Oh ! Eh bien, merci de demander, c’est gentil. Je suis le gardien qui vielle sur le bienêtre de l’extérieur de l’île de Nibouba.
Les hommes éclatèrent de rire en remarquant que ce nom faisait babouin à l’envers. L’homme repris.
– Et moi, puis-je vous demander d’où vous venez ? Un monde où l’on demande qui sont les gens, ce doit être un univers rempli d’une extrême contemplation de soi ! Affirma-t-il entre deux gloussements.
Gaël piqué par l’insolence de cet homme demanda, dans un cri, à deux de ces matelots les plus fort de faire taire le petit arrogant.
Celui-ci, d’un seul et même mouvement fluide, en un battement de cil, mis à terre le premier homme. L’autre, choqué par la vitesse à laquelle son collègue avait été mis à terre pris peur. Mais le colosse ne recula pas. Avec méfiance, il avançait les poings levés, près à parer un coup. Ils étaient aussi gros que la tête du gardien. Après un temps mort de méfiance froide, le matelot lança son point à une vitesse ahurissante, mais le lourd bestiau fût trop lent pour celui en face qui l’envoya se noyer dans les méandres de son inconscient.
– Bon, vous allez m’en envoyez d’autre encore plus gros pour que je continue de vous prouver que vous n’arriverez pas à me coucher ?
Son arrogance était telle que ces paroles hérissèrent tous les poils du corps de Gaël. Le capitaine accepta de l’écouter avec méfiance. C’est alors que le barbu continua comme s’il avait pardonné l’attaque des deux hommes :
– Eh bien, ce n’est pas trop tôt ! Allez, suivez-moi ! Je vais vous faire visiter les lieux !
En continuant son trajet, l’homme, donnait sa bonne humeur à qui voulait l’entendre. Avec un timbre de voix excité il racontait :
– Vous n’êtes pas les premiers à venir sur cette île vous le savez ? En revanche, vous êtes étonnement les seuls à avoir lancé seulement deux hommes contre moi ! fit-il avant de lâcher un petit rire aigu en secouant la tête.
Ce bonhomme, pensait Gaël, est vraiment bizarre il veut surement nous lancer un gai tapant, restons méfiant et flattons-le.
– Que voulez-vous dire par là ? Pourquoi des hommes aurait l’audace de vous défier ?
– Oh ! Vous m’envoyez ravi, l’audace ? Arrêtez, je vais finir par rougir. Je veux dire par là que de nombreuses personnes sont venue sur l’île.
Il commença à rire. Puis continua :
– Ha ! Je me souviens, un jour j’étais en train de faire un énième tour lorsqu’un groupe de sept personnes est arrivé ! Je leur ai souhaité la bienvenue, mais ils m’ont attaqué avec des couteaux ! n’ayant pas eu le choix, j’ai retourné leur propre force contre eux ! Mais ces cons, plus ils attaquaient fort, plus ils s’assommaient fort ! Il lâcha un rire à gorge ouverte comme si les hommes derrière avaient sorti une blague hilarante. Mais, ce rire ne fut pas réciproque. Il reprit en montrant un peu plus de respect :
Quand je repense à leur résistance, je n’ai pas de mots.
Après un silence, il reprit d’une voix plus pesante :
– Toujours est-il qu’ils ont tellement frappés qu’ils en sont morts. Seulement un survivant parmi les sept s’est en allé, salement amoché. C’est bête, je pense que j’aurais pu le soigner. Il a dévalé la pente afin de prévenir les siens qu’un grand danger régnait sur cette île, moi. Malheureusement, au lieu de fuir, ils ont continué de plus belle. Une centaine de matelots sont descendus de deux gros navires avec toutes sortes d’armes : épées, couteaux, pistolets, fusils. Ils braillaient comme s’ils entraient en guerre.
Bah je les ai tous tués, sauf ceux qui n’ont pas voulu m’attaquer. Les bateaux ont largué les amarres voyant que les hommes avaient besoins d’une couverture. Ils ont aussi péri de leurs attaques. C’est triste, vous allez peut-être me trouver cruel, mais on m’a donné une tâche à accomplir de protéger et garder Nibouba et ce fût un honneur. De plus, je ne faisais que parer leurs attaques aussi violentes soient-elles.
Les hommes arrivèrent, après avoir monté de nombreuses marches cachées, devant une porte en bois. Assez grande mais très modeste, elle aurait pu être enfoncée en un seul coup d’épaule.
Gaël plongea dans une réflexion abyssale pendant que le garde expliquait certaines règles qu’il fallait respecter lorsqu’il était dans l’île, « Pourquoi une si petite porte pour un Eldorado, si des gens ont mille et une richesses il faut les protéger ? Entrons-nous dans un piège ? » songea-t-il en se passant de nombreux films interminables somptueusement enrobées de peur. Il sortit de ses pensées lorsque l’homme pensa seulement à se présenter.
– Au fait, il est vrai que je ne me suis pas présenté. Je suis Tersenp, le gardien de Nibouba, c’est un plaisir de vous faire entrer dans ces lieux.
(À suivre)

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